Rappel: Dire NON, refuser un projet, c’est difficile pour un-e jeune chercheur-e (entre autres!)
Petit
un peu énervé
Petit


Dire NON c’est dur car on a l’impression 1) de rater une opportunité, 2) de se tirer une balle dans le pied, 3) de se fermer des portes, 4) de passer pour un-e incapable de s’organiser, 5) de décevoir la personne (souvent en position de domination hiérarchique ds nos cas)
Mais dire NON c’est essentiel pour se préserver physiquement et mentalement: on ne peut pas tout faire, ni être partout.
Sophie (épisode 11) nous rappelle comment dire oui à tout l’a conduite à s’enfermer dans un calendrier intenable et un rythme infernal délétère pour elle.




Point énervé: quand on réussit à dire NON, les relances pour savoir si on est vraiment sûr-e, ou si on envisagerait pas de participer d’une « autre » manière, ou disant que c’est « vraiment dommage », il faut arrêter !!

Cerise sur le gâteau: avoir une proposition rémunérée pour X mission/dire NON pour X raison/puis recevoir une relance qui se transforme en proposition de travail gratuit mais juste pour avoir « vos conseils, vos contacts, votre expertise » et puis « ça prendra pas lgts »

NON c’est NON, et c’est déjà assez difficile à formuler sans culpabiliser qu’être relancé-e ac des propositions parfois + que limites traduit un manque de respect pour la décision de la personne.
PS: et quand la personne explicite en plus que ce NON est dû à un congé maternité/un épuisement/un pb perso et qu’elle ne PEUT pas faire ce travail, on évite de proposer un « et un zoom c’est possible quand même? »
NON !
NON !