Un an après, le Sporting Portugal avec Rúben Amorim aux commandes affronte ce soir le Sporting Clube de Braga (où il s'est révélé) dont le coach est désormais Carlos Carvalhal, pour un match qui a le pouvoir d'accélérer l'histoire. https://twitter.com/rmdendani/status/1252289628549373954

La réflexion "Devoir bousculer le destin d'un club qui veut totalement changer de cap. Et se lancer dans ce qui a les traits d'une mission commando. Un mariage d'ambitions, plus que de raison ?" ponctuait alors l'article.

Unité de pensée partagée par Amorim au moment de sa signature dans les tweets sous celui cité ici : https://twitter.com/rmdendani/status/1235519426897702915?s=20

Depuis, le grand bouleversement à eu lieu, le spectre de la fausse bonne idée à disparu et Amorim a prouvé qu'on pouvait rapidement changer de style de jeu en allant au-delà de récitation imparfaite observée dans pas mal d'équipes des mois après de nouvelles idées.

Si la situation est loin d'être parfaite (diplôme...) et le défi du projet est énorme, le Sporting suit Amorim et est récompensé. Quelques heures avant la 29ème journée contre Braga, le Sporting, leader, est invaincu en championnat (21v - 7n) et pointe à 70 points.

D'un côté, Braga joue à bousculer Benfica de la 3ème place. De l'autre, avec 4 matchs nul lors des 8 dernières rencontres, le Sporting voit pointer Porto à 4 points derrière malgré 10 points d'avance début avril. Et ce, à 6 journées de la fin.

Ces dernières saisons en Liga NOS, tout s'est joué à un fil. À zéro depuis 2002, le Sporting s'apprête à faire le grand saut sous le regard fort de caractère de Porto. Pourvu que le cœur et le jeu ne lâche pas.

Journée commémorative de la Révolution des Œillets, partage de ce thread très riche de @VictorPereir1 : https://twitter.com/VictorPereir1/status/1386214952327958528?s=20

Et de cette illustration issue de la magnifique Une de la @RevistaPanenka #56 d'octobre 2016.