On parle de plus en plus de communautés en France, moi non. Ce n'est pas par ferveur républicaine, pardon mais j'ai plutôt l'ennui des grands mots et la raillerie facile alors, la République, hein, c'est un cache-poltron.
Je pense en termes d'individu, de personnalité,

de capacité à s'extraire de la pression du groupe.
Voyez Abdelghani Merah.
Il y a communautarisation due non pas à la manière dont serait " racisée " une population, dite mal accueillie, stigmatisée, ghettoïsée, pour laquelle l'Etat n'aurait pas versé assez d'argent ni bâti

de structures éducatives, sociales, culturelles.
Certes le groupe crée une réplique de comportements tribaux et ethniques. Et une formidable pression à l'uniformisation, sans compter la surveillance d'autrui, celle de la " mauvaise herbe " hors troupeau dont parle Brassens.

Or le vent est à la radicalisation : voile, d'ailleurs de plus en plus long, pratiques et propos religieux serrés tout en étant transgressés ici, indigénisme raciste et faux féminisme radical complaisant envers le tribalisme et la charia là.
Pression néfaste d'orgas gauchistes

( partis, assos, services sociaux, école ... ) et parole familiale anti-occidentale, anti-judaïsme ici et là.
L'extrême gauche a toujours été anti-occidentale, anti-nationale, anti-française. ( Marxisme-léninisme ).
Mais les intellectuels anti-capitalisme étaient jadis frottés

de culture dite bourgeoise riche, tout en travaillant à leur Utopie délirante.
Les instits savaient enseigner plus que les fondamentaux de la notre culture : sévères et justes.
Les socialistes ont voulu supprimer jusqu'à l'entraînement de la mémoire et la récitation de poésies

sauf une poésie " moderne " débile au sens de faible.
Le racisme existe partout mais je rappelle que l'ouvrier français, le petit cadre étaient frottés d'internationalisme et de goût pour l'ailleurs même idéalisé.
Ah les îles, ah Tahiti !
Ce que l'indigéniste crétin nomme

racisme ! Comme si la brunette n'avait pas toujours rêvé d'être blonde et la blonde brune !
Racisme ?
Abrutis.
Pour se donner de l'air face aux échecs du mitterrandisme SOS Racisme a inventé un Français blanc beauf raciste.
Le mondialisme, rêve d'une gouvernance mondiale

à la pensée unique, grand marché où tous consommeraient en s'aimant, par interpénétration des civilisations renommées cultures, quelle utopie mortifère, quelle indifférence aux chocs de ces plaques tectoniques !
Et l'Europe ne serait pas de tradition chrétienne

mais l'Afrique musulmane serait bien elle musulmane !
La Fraternité, terme venu tard dans notre devise, franc-maçon ( et quelle liturgie chez les Frères ), robespierriste, venu d'une ode de Schiller, mot attrape-tout, nouveau piège lexical !

Elle serait la clé, ce terme qui reprend aussi " frères en islam " ?
Voire !
On en reparlera !
Tous les hommes sont des frères, ah tiens, c'est beau, ça, comme le Flower Power hippie !

Je suis un vieux réac ? Oh non, les années 50 comme toute époque avait ses tares : la femme encore " mineure ", à la cuisine, mais la femme est forte, l'a toujours été, et la femme française l'a toujours été !
Je suis plus moderne que Libé, ce ramasse-tendances.

La servante de Molière, la soubrette de Beaumarchais, la domestique de Feydeau, la grisette romantique, insolentes, piquantes, effrontées, industrieuses, voilà la femme française !
La solution ? Je ne l'ai pas.
La France ne doit pas être heurts de communautés, n'a pas à rougir

de son passé : qui croit que je recule d'un pouce, se goure lourdement.
Non à la charia, à l'ethnicisation, au tribalisme, au communautarisme, à la fraternité bidon !
Oui à la raillerie, à l'image, à la caricature !
MAIS les caricatures de Charlie, feuille très peu lue,

d'un gauchisme anti-institutions, sont de plus en plus faibles, et pas un tremplin pour la lutte.
Une étoile est née : zéro !
C'est leur droit, leur choix, je préfère le Gotlib de la Rubrique-à-Brac.
Dans quelle bouillie sera répliqué ce thread ?