✨JACQUES CHIRAC ET SES PERLES✨⬇️
Il y a un an, le cinquième président de la Ve République faisait ses ultimes adieux aux Français. Pour rendre un hommage à la spontanéité et à la franchise de ce bon vivant, Les Engagés vous propose quelques-unes de ses plus belles sorties.
Avant tout, rappelons brièvement Chirac (ou Chichi pour les intimes). Né le 29 novembre 1932, il fut présent dans le paysage politique français dès 1965 en tant que conseiller municipale, en Corrèze avant d’en devenir un député en 1967.
Surnommé « mon bulldozer » par Pompidou, c’est ce dernier qui le rapproche du gouvernement en 1967. D’abord secrétaire d’Etat, il ne cessera de gravir les échelons. Il sera ministre, notamment de l’intérieur, et finalement premier ministre en 1974.
Jusqu’en 1995, il aborde plusieurs postes en tant que haut fonctionnaire : président du conseil général de Corrèze, député européen, maire de Paris … Il accédera finalement à la présidence de la République, après quelques tentatives, de 1995 à 2007.
Considéré comme un des présidents les plus appréciés de la Ve République, sa mort a entraîné un deuil national et l’anniversaire de celle-ci est l’occasion de rappeler pourquoi il était vraiment apprécié ; ses plus belles perles ! ⬇️🍎
Chirac n’en peut plus. Lors du sommet européen, Margaret Thatcher, première Ministre du Royaume-Uni « want [her] money back” et ne cesse de le marteler. Le président explose et lâche, dans son micro allumé, cette phrase mythique qui fera le plaisir des tabloïds anglais.
A la fin d’un entretien visant à promouvoir sa candidature à l’Elysée, A. Duhamel qui l’interviewe lui demande pourquoi il y a des pommes sur ses affiches de campagne. Sa réponse devient un gag, surtout pour les Guignols, et le nom de Chirac est depuis associé aux pommes.
Chirac est connu pour être un fan absolu du Japon et de sa culture (et de son saké aussi 😉). Il ironise ici sur le fait qu’il n’est pas un grand sportif.
Bon vivant et voulant être apprécié auprès des classes populaires, il livre cette confession dans un magazine automobile. Pourtant en 2002, il sera « horrifié » par le nombre de morts sur les routes, en partie dû à la vitesse.
Lors d’une conversation avec J.L Debré, Chirac semble porter peu d’intérêt au thème abordé. Il répond donc par cette allusion grivoise. Il est dit que c’était une de ses expressions favorites.
Malgré ses paroles souvent amusantes, parfois touchantes et sincères, Chirac savait aussi parler aux Français. Pour conclure ce thread, nous ne pouvons que rapporter ces derniers mots aux Français en tant que président :
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