Il m'arrive d'écrire des horreurs mais, au fond de moi, je reste un humaniste qui, farouchement opposé aux communautarismes, garde en réserve les vieux rêves universalistes de sa jeunesse. Les idéaux du Saint-Exupéry de "Terre des Hommes" me resteront une référence absolue. 1/7

En ces temps de barbarie, de haine d'autrui et de violation permanente des règles de la vie commune, il faut se savoir mené par une nécessité qui nous dépasse, qui nous transcende même, imprégnés que nous sommes de notre culture et de notre morale judéo-chrétiennes. 2/7

Cet humanisme que je revendique et que cherche à détruire un concours de forces hostiles à notre civilisation n'a rien à voir avec le multiculturalisme délétère: au contraire, il se sent assez légitime pour s'imposer dans l'espace où il est né, à savoir l'Occident. 3/7

Cet humanisme est inclusif de tous ceux qui en acceptent tant les obligations que les agréments. Mais il est exclusif de tous ceux qui veulent les anéantir.
C'est un humanisme de combat, non d'ingénuité. De guerre contre nos ennemis, non de pacifisme béat. 4/7

C'est celui qu'il aurait fallu opposer au nazisme dans les années 30. C'est celui qu'il faut opposer au nazislamisme d'aujourd'hui, à la voyoucratie qui pourrit les banlieues et assassine, à leurs alliés (islamo)gauchistes conscients ou non de leur félonie. 5/7

Cet humanisme-là, soit ils s'y soumettent dans toutes ses composantes, soit ils le haïssent, auquel cas aucune concession n'est envisageable de notre part: privation des droits sociaux, civiques et de nationalité; expulsions; incarcérations; éliminations ciblées. 6/7

Non, ces barbares, qui ont pignon sur rue dans nos banlieues et que nous continuons de recevoir depuis l'autre rivage de la Méditerranée, non plus que leurs affidés ne doivent détruire le monde dans lequel nous sommes nés et dont nous n'aurions jamais imaginé le terme. 7/7