L'homme Arabo-Musulman, dernier représentant de l'espèce?
Les derniers survivants de la masculinité se comptent chez les Arabo-Musulmans, le reste de l'espèce ayant été décimé par le lobby féministe et son allié objectif, le lobby homosexuel. Cet homme, l'Arabo-Musulman, est le
Les derniers survivants de la masculinité se comptent chez les Arabo-Musulmans, le reste de l'espèce ayant été décimé par le lobby féministe et son allié objectif, le lobby homosexuel. Cet homme, l'Arabo-Musulman, est le
dernier porteur du flambeau de la virilité sous toutes ses formes, y compris sous celle du machisme, entendu au sens noble du terme. A ce titre, il constitue une cible désignée, et nous verrons que l'acharnement contre tout ce qui s'apparente de près ou de loin à cette espèce n
date pas d'hier et fait partie d'une stratégie murement réfléchie.
Depuis des années, le lobby féministe travaille à dépouiller l'homme de ses prérogatives et à en faire un "égal" qui ne se distinguerait plus de la femme que par son anatomie. Le processus s'est accéléré ces
Depuis des années, le lobby féministe travaille à dépouiller l'homme de ses prérogatives et à en faire un "égal" qui ne se distinguerait plus de la femme que par son anatomie. Le processus s'est accéléré ces
dernières années puisque comme pour cette corde que l'on brûle aux deux bouts, les féministes ont activement travaillé à féminiser l'homme et à masculiniser la femme. Il en résulte une sorte d'androgyne, un hybride, dont on ne saurait dire s'il est vraiment homme ou s'il n'est
pas femme, tant dans son aspect que dans son comportement.
=> De Néandertal à Kamel Ouali.
Dans l'apparence, d'abord, les femmes ont su imposer leurs normes et faire de chaque homme un "Ken" (pas le survivant, lui est un vrai homme), lisse d'apparence comme de comportement,
=> De Néandertal à Kamel Ouali.
Dans l'apparence, d'abord, les femmes ont su imposer leurs normes et faire de chaque homme un "Ken" (pas le survivant, lui est un vrai homme), lisse d'apparence comme de comportement,
habillable et déshabillable au gré des fantasmes de ces dames. L'exécration de la pilosité visible en est un des symboles les plus frappants de cette idéologie. La société occidentale abhorre la barbe et les femmes préfèrent les hommes à la peau lisse comme un bébé.
S'il n'achète pas le dernier Gillette 45 lames avec baume qui rend la peau aussi douce que la paume d'un nouveau né, l'homme à l'impression de manquer à une obligation fondamentale, à immédiatement peur du déclassement, d'être assimilé à un barbare hirsute.
Dans la tenue vestimentaire, le lobby de la femme, travaillant main dans la main avec le lobby homosexuel, à su imposer ses codes. Couleurs flachouillantes, jean taille basse laissant apparaitre une caleçon griffé d'un styliste homosexuel et T-Shirt moulant ne faisant qu'un avec
la peau.
Au niveau comportemental, l'offensive est encore plus féroce et les dégâts plus importants. L'homme doit penser comme une femme au risque de se voir accuser de ne pas comprendre cette dernière et d'être indigne de sa compagnie. Il se féminise dans ses réactions, se
Au niveau comportemental, l'offensive est encore plus féroce et les dégâts plus importants. L'homme doit penser comme une femme au risque de se voir accuser de ne pas comprendre cette dernière et d'être indigne de sa compagnie. Il se féminise dans ses réactions, se
soumet sans coup férir aux désidératas de la femme qui en fera parfois sa copine.
De là l'obligation de se livrer à l'amour courtois pour espérer rester dans la course et intéresser les filles.
Pour ce qui est du lobby homosexuel, celui-ci n'aime naturellement pas les femmes
De là l'obligation de se livrer à l'amour courtois pour espérer rester dans la course et intéresser les filles.
Pour ce qui est du lobby homosexuel, celui-ci n'aime naturellement pas les femmes
mais refuse aussi la virilité. Il s'accommode donc parfaitement du travail de sape entrepris par le lobby féministe. L'homme ainsi féminisé devient plus accessible et se trouve quelques points communs avec les homosexuels.
D'ailleurs, j'ai toujours été surpris par le nombre d'amies qu'ont les homosexuels.