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THREAD : Les 11 tortures du Moyen Âge qui étaient réservées qu’aux femmes.
1- La bride-bavarde dans la bouche.
Elle était équipée de pointes de métal qui lacéraient la langue. C’était ni plus ni moins qu’une muselière en fer, destiné aux commères. Ces femmes qui ne cessaient de critiquer, de dévoiler des secrets, de parler sur les voisins...
Elle était équipée de pointes de métal qui lacéraient la langue. C’était ni plus ni moins qu’une muselière en fer, destiné aux commères. Ces femmes qui ne cessaient de critiquer, de dévoiler des secrets, de parler sur les voisins...
2- Le manteau d’ivrogne.
Un énorme tonneau dans lequel on forçait les femmes infidèles à s’y installer. Un trou passait la tête et deux autres cavités étaient destinées aux bras. Puis la coupable devait marcher dans la ville pour montrer qu’elle n’était pas digne de confiance.
Un énorme tonneau dans lequel on forçait les femmes infidèles à s’y installer. Un trou passait la tête et deux autres cavités étaient destinées aux bras. Puis la coupable devait marcher dans la ville pour montrer qu’elle n’était pas digne de confiance.
3- La marche de la honte
On forçait les prostituées ou les femmes autoritaires et dominatrices à parcourir en etant nues dans les rues de la ville.
De plus, la foule devait humilier les coupables.
On forçait les prostituées ou les femmes autoritaires et dominatrices à parcourir en etant nues dans les rues de la ville.
De plus, la foule devait humilier les coupables.
4- La noyade pour les voleuses et les sorcières.
La noyade était réservée aux femmes accusées de vol. Cette méthode était considérée comme douce. Quant aux sorcières, elle subissaient l’ordalie par l’eau froide. Leur sort était déterminé si elles coulaient ou si elles flottaient.
La noyade était réservée aux femmes accusées de vol. Cette méthode était considérée comme douce. Quant aux sorcières, elle subissaient l’ordalie par l’eau froide. Leur sort était déterminé si elles coulaient ou si elles flottaient.
5- Le fer rouge pour les prostituées.
Afin de montrer au monde à quel point elles sont légères. Les filles recevaient un «P» sur le front, le bras ou la fesse, tandis que les maquerelles disposaient d’un «M», assortie d’une fleur de lys.
Le roi Charles IX les rendait hors-la-loi.
Afin de montrer au monde à quel point elles sont légères. Les filles recevaient un «P» sur le front, le bras ou la fesse, tandis que les maquerelles disposaient d’un «M», assortie d’une fleur de lys.
Le roi Charles IX les rendait hors-la-loi.
6- Certaines étaient brulées vives
Les « sorcières » n’étaient pas seulement noyées également brûlées ! Le tout premier procès de sorcellerie est celui de Jeanne de Brigue, le 29 octobre 1390. Elle est ensuite « purifiée par le feu » sur la place publique le 19 août 1391.
Les « sorcières » n’étaient pas seulement noyées également brûlées ! Le tout premier procès de sorcellerie est celui de Jeanne de Brigue, le 29 octobre 1390. Elle est ensuite « purifiée par le feu » sur la place publique le 19 août 1391.
7- Le « ducking stool »
La chaise était élevée au-dessus d’une étendue d’eau, et la femme y siégeant était plongée autant de fois qu’il fallait pour « refroidir sa chaleur excessive », Parfois, ne pouvant supporter la pression mourrait. Le Moyen Âge, quelle douce époque…
La chaise était élevée au-dessus d’une étendue d’eau, et la femme y siégeant était plongée autant de fois qu’il fallait pour « refroidir sa chaleur excessive », Parfois, ne pouvant supporter la pression mourrait. Le Moyen Âge, quelle douce époque…
8- Le « cucking stool »
Destinée aux femmes aux moeurs légères et aux commères, cette chaise en bois sans siège était une véritable torture. La coupable devait « s’asseoir nue » dessus, tout en étant attachée et exposée sur la voie publique. L’humiliation était à son paroxysme…
Destinée aux femmes aux moeurs légères et aux commères, cette chaise en bois sans siège était une véritable torture. La coupable devait « s’asseoir nue » dessus, tout en étant attachée et exposée sur la voie publique. L’humiliation était à son paroxysme…
9- L’ablation du nez
Pour punir une femme aux moeurs légères, lui couper le nez ? La société du Moyen Âge n’hésitait pas à lui couper le nez, symbole de sa beauté. Les prostituées surprises en flagrant délit avec un soldat devaient se faire couper le nez et les oreilles.
Pour punir une femme aux moeurs légères, lui couper le nez ? La société du Moyen Âge n’hésitait pas à lui couper le nez, symbole de sa beauté. Les prostituées surprises en flagrant délit avec un soldat devaient se faire couper le nez et les oreilles.
10- Le thewe
Le thewe est un pilori pour dames. Autrement dit, contrairement aux hommes, seule la tête était attachée au poteau et non les mains. La fautive, en plus d’être enchaînée, était exhibée à la foule et recevait insultes, crachats et pierres.
Le thewe est un pilori pour dames. Autrement dit, contrairement aux hommes, seule la tête était attachée au poteau et non les mains. La fautive, en plus d’être enchaînée, était exhibée à la foule et recevait insultes, crachats et pierres.
11- Le joug à mégère.
À côté du joug à mégère, les menottes ne sont rien. Ce dispositif en bois ou en métal, destiné aux femmes violentes, forçait un individu à se déplacer bras pliés et tête enserrée. Parfois, il était utilisé pour punir deux femmes en même temps !
À côté du joug à mégère, les menottes ne sont rien. Ce dispositif en bois ou en métal, destiné aux femmes violentes, forçait un individu à se déplacer bras pliés et tête enserrée. Parfois, il était utilisé pour punir deux femmes en même temps !
Insultées, humiliées, torturées… Tel est le sort de « la femme » à travers l’Histoire. Si on considère enfin la femme comme un individu à part entière, ce fut rarement le cas dans le passé. Pendant le Moyen Âge, de cruels sévices étaient même spécialement destinés aux dames.
