Euh...
Dans la plupart de ces dossiers le plaignant arrête lui-même le suspect, ses témoins sont ses collègues, souvent également parties civiles, constitués par un formulaire en garde à vue, le suspect n& #39;a pas de témoins et est entendu par un collègue tiers du même service... https://twitter.com/LeHuffPost/status/1273262767638790145">https://twitter.com/LeHuffPos...
Dans la plupart de ces dossiers le plaignant arrête lui-même le suspect, ses témoins sont ses collègues, souvent également parties civiles, constitués par un formulaire en garde à vue, le suspect n& #39;a pas de témoins et est entendu par un collègue tiers du même service... https://twitter.com/LeHuffPost/status/1273262767638790145">https://twitter.com/LeHuffPos...
Donc pour "simplifier", soit on instaure une "présomption d& #39;outrage", même plus à démontrer ; soit le policier victime s& #39;accorde lui-même les dommages et intérêts. Sinon je ne vois pas...
(Et je le dis avec toute la compassion sincère que j& #39;ai pour les policiers-soutiers qui passent parrfois leur garde à vue à se faire copieusement injurier, hein, ne mélangeons pas forme et fond...)