Faire passer quelqu& #39;un d& #39;aussi "plat" que Jordana pour une anarchiste révolutionnaire zélée, c& #39;est un outil pour définir les véritables militants comme des "ultra radicaux" et leurs combats légitimes pour des crimes. C& #39;est extrêmement grave et ça en dit long sur l& #39;état du débat.
Il faut quand même se rendre compte, où se place le curseur quand l& #39;Etat s& #39;inscrit dans un tel déni de réalité. Le racisme n& #39;existe pas, les violences policières n& #39;existent pas et soyez reconnaissants à la lumière France pour l& #39;abolition de l& #39;escalvage par la France.
Le gouvernement se croit légitime à contrôler le discours social, le discours historique, la vérité, et à octroyer les titres d& #39;opposants, certains à lui-même, CF : le groupe en Marche "dissidents" avec des guillemets police 56, ou à des personnages "insignifiants".