En plus de 50 jours de confinement et autant de promenades urbaines dans le #Vieuxlille, j’ai découvert 29 espèces d’oiseaux, que j’ai photographiées [plus ou moins bien]. Je vous emmène les découvrir...
À dérouler ⤵️
#Lille #birds #birdphotography #birdwatching @LPOFrance
1/29
Le merle noir. On le voit en hauteur, où il se perche pour chanter, et au sol, où il soulève les feuilles pour trouver à manger. Il n’est pas très farouche.
2/29
Le moineau domestique. Il ne court plus partout en ville comme il y a trente ans, mais on peut l’apercevoir dans quelques coins, toujours en groupe, pépiant dans les buissons ou prenant des bains de poussière.
3/29
La mésange bleue. Petite (12 cm), vive, insaisissable, on la repère grâce à son chant caractéristique (elle zinzinule).
4/29
La mésange charbonnière. Un peu plus grande, elle a un chant entêtant (tititu tititu). Une population plus nombreuse semble-t-il, ou plus visible, que la précédente.
5/29
Le chardonneret élégant. Il m’a donné du fil à retordre. Je l’ai beaucoup entendu gazouiller, un peu vu (en couple), rarement photographié. Et toujours de loin. Lui aussi est petit, mais très coloré.
6/29
Le rougegorge familier. Je l’avais pourtant beaucoup croisé, en février, à la citadelle. Là je ne l’ai vu qu’une fois. Et il est flou...
7/29
L’accenteur mouchet. Je l’ai aperçu et entendu régulièrement, mais il s’est beaucoup caché. Il a fini par prendre la pose (derrière la Grosse Madeleine).
8/29
Le rougequeue noir. Des rencontres assez ratées (photographiquement). Il y a dans son chant un bruit de papier froissé très étonnant.
9/29
Le troglodyte mignon. La deuxième fois qu’on s’est vu, il n’a pas bougé pendant quelques secondes, à découvert. Il chante très fort pour un si petit oiseau.
10/29
La fauvette à tête noire. Elle est venue se poser dans l’érable, sous mes fenêtres. Je ne l’ai jamais vue (ou reconnue) ailleurs.
11/29
Le pinson des arbres. Lui non plus n’a pas été coopératif. L’oiseau est beau, avec sa couleur brique-rose, mais les photos ne lui rendent pas justice.
12/29
Le grimpereau des jardins. La rencontre inattendue ! Je ne l’avais vu qu’une seule fois auparavant, à la citadelle. Il a surgi devant moi avenue du Peuple-Belge, et a vite disparu.
13/29
Pigeon biset. Je l’aurais presque oublié... Il n’est pas très sauvage, c’est un oiseau néanmoins.
14/29
Pigeon ramier. Moins familier et plus élégant que son cousin. Souvent perché assez haut dans les arbres.
15/29
La tourterelle turque. « Ou-ou hou ». L’une de mes photos préférées (à gauche). Joli demi-collier noir à l’arrière du cou.
16/29
L’étourneau sansonnet. Un aspect un peu ébouriffé et un chant qui mêle des sons divers. Comme le merle noir, on peut l’observer très haut sur les antennes, et au sol. Souvent en groupe.
17/29
La pie bavarde. Omniprésente dans les rues comme dans les espaces verts. Jacassante, bruyante, et un peu méfiante...
18/29
Le choucas des tours. Très localisé, souvent en petit groupe. Il a de beaux yeux bleu pâle.
19/29
La corneille noire. Je ne l’ai presque vue qu’en vol ou perchée dans de très hauts arbres. Elle ne se laisse pas approcher.
20/29
L’hirondelle de fenêtre. Là je dois reconnaître les limites du matériel (appareil compact)... et les miennes. Difficile de la photographier, même si on peut longuement observer son ballet à l’abord du nid.
21/29
Le martinet noir. Lui aussi est arrivé en cours de confinement. Lui aussi est impossible à photographier (pour moi) car il ne se pose pas (même pour dormir !). On reconnaît néanmoins ses ailes en lame de faux (si si...).
22/29
Le goéland (argenté ?). Il pullule sur la côte, mais je l’ai rarement vu ces deux derniers mois à Lille. Et toujours en vol, de (trop) loin.
23/29
La perruche à collier. Espèce exotique qui s’est adaptée à nos latitudes. Elle criaille dans les platanes de la citadelle. Je ne l’ai pas vue de près pendant le confinement.
24/29
La gallinulle poule-d’eau. Reconnaissable à sa plaque frontale rouge. Assez commune dans le parc de la citadelle, sur la Deûle, au jardin Vauban.
24/29
La foulque macroule. Du même genre (la famille des rallidés) mais avec une plaque blanche et l’iris rouge foncé. Pousse des cris de trompette !
25/29
Le canard siffleur. Reconnaissable à sa tête rousse, son bec bleuté et son cri (il siffle...). Je n’ai pas vu la femelle.
26/29
Le canard colvert. Le plus commun et reconnaissable des canards. Je n’ai pas vu de canetons.
27/29
Le grèbe huppé. Vu deux fois sur la Deûle, après la passerelle du zoo, dont une fois en pleine partie de pêche. Reste éloigné des berges.
28/29
Le grand cormoran. Vu une seule fois, ce matin, au-delà du pont du Petit Paradis. Lui aussi pêchait, et s’est vite éloigné...
29/29
Le héron cendré. Je termine avec le plus impressionnant de tous, très facile à observer (et à photographier, car il peut rester longtemps sans bouger) du côté du zoo.
La balade ornithologique est terminée. J’espère qu’elle vous a plu.
Finalement il y a 30 oiseaux ! [Et une erreur de numérotation].
Je reste aux aguets pour vous faire partager mes prochaines découvertes...
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