Ce qui me fascine sur le Twitter français, c'est que les faux combats, les dénonciations fabriquées contre des systèmes eux-mêmes fictifs (cf. les tweets sur le patriarcat) et les aberrations prononcées au nom de valeurs pourries émanent toujours des mêmes personnes.

Des "robins des bois" qui croient sauver le monde, se battre contre le MAL qui infecte notre société et affranchir les populations opprimées. Mais la question est : n'est-ce pas eux qui pourrissent nos fils d'actualité ? Qui occultent et éclipsent les véritables débats ?

J'en ai marre de voir des gens simples et honnêtes donnant leur opinion se faire envahir par des charlatans, sous couvert de jolies couleurs et de termes pseudo-scientifiques. De personnes mal dans leur peaux, qui n'ont d'autre remède à leur folie que de déverser la haine,

inciter à la violence (coucou les pro "ACAB") et s'enfuyant des débats lorsqu'ils atteignent la limite de leur raisonnements (aussi défaillants soient-ils). Comment voulez-vous que la société, en tant que communauté, se développe si ce sont des fous, sans principes ni déontologie

qui s'emparent du débat et monopolisent la parole ? Comblez vos ignorances par le débat, discutez de sujets intéressant qui dépassent votre personnes, essayez de progresser au lieu de vous enchaîner dans cette souffrance que vous revendiquez comme force.

Vos combats ne vous mèneront nul part. Vous courrez après votre queue (sans mauvais jeu de mot) en essayant de prouver que vous êtes libres. Mais vous ne l’êtes pas. Et vous ne le serez pas tant que vous faites de votre faiblesse une raison de vivre.

Vos idées (et ce n'est pas une insulte) sont pourries, vos revendications faussement nobles et les représentants de votre communauté non-respectables. Bien que je n'adhère pas à la généralisation, je crois que vous êtes influencés, prisonniers des idées d'une société qui se tare.

Avec vos idées, ce n'est plus simplement vos corps que vous bousillez (le fameux "physique de nos idées" de @DalilBoubakeur) mais la société elle-même. Il vous faut intégrer ce monde des hommes que vous rejetez et qui pourtant, est la clé de votre reconnaissance.