J'avais annoncé que la prise de pouvoir de Macron mènerait ce pays à la guerre civile. On n'en a jamais été aussi proche.

En pleine pandémie mondiale, alors que l'incompétence et le cynisme gouvernemental sont à leur apogée, la seule priorité de la force de destruction

néolibérale est limpide: accélérer la destruction. Éradiquer le code du travail. Préparez les gens à l'idée qu'ils vont bosser 70 heures par semaine, sans congés payés, avec des salaires réduits, des indemnités chômage mutilées, des contrats précaires, des aides sociales

ravagées. Bruno Le Maaire a déjà donné la couleur: il va falloir payer la note, et ce seront les travailleurs qui la paieront avec leur sang, comme depuis le début du mandat. La moitié du pays peut bien crever: le patronat et les ultrariches n'ont pas placé leur pantin

psychopathe au pouvoir pour accepter de payer un centime d'impôt: ils feront un coup d'état plus volontiers que de rétablir l'ISF. Préparez-vous à une répression inouïe dès e début du déconfinement - la moindre tête qui dépasse sera implacablement matraquée par les nazis à la

Lallement, toujours en poste contre vents et marées, parce qu'il remplit parfaitement la mission de terrorisme d'état qu'on lui a confié: contrôler, écraser, humilier, tuer. La bourgeoisie décomplexée qui rêve de sa contre-révolution depuis la fin de la guerre est en train de

vivre son rêve de retour aux années 30: cette fois, ce sera le fascisme partout, et il n'y aura ni Roosevelt, ni Front Populaire, ni communisme en face. Partout, ce sera Macron, Orban, Trump, Bolsonaro - le reste sera renversé, muselé, sali, jugé, diffamé, rendu inaudible par

les médias aux ordres.

Si le peuple ne se révolte pas, s'il ne reprend pas les commandes de sa propre République, il se réveillera comme la bourgeoisie l'a toujours rêvé: nations d'esclaves dociles où ceux qui ne travailleront pas 70 heures par semaine attendront sagement la

mort, et ou ceux qui ne seront pas d'accord avec ça auront tous trois policiers sur le dos - littéralement - pour leur rappeler que leur vie ne vaudra jamais rien comparé aux profits d'une poignée de parasites omnipotents, bien servis par des salauds en uniforme à qui une

dictature ne posera jamais le moindre problème tant qu'ils auront le droit de casser du faible en jouissant d'une impunité totale.

Si vous n'êtes pas prêt à lutter contre ça, vous avez déjà perdu.