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Thread des films et séries que j'ai découverts en 2020 
The Lobster, Yorgós Lánthimos (2016) - 
Portrait de la Jeune Fille en Feu, Céline Sciamma (2019) -
The Office, saison 1 (2005) - 
Little Women, Greta Gerwig (2020) -
Euphoria, saison 1 (2019) -
The Office, saison 2 (2005) -
Swallow, Carlo Mirabella-Davis (2020) - 
The Good Place, saison 4 (2019-2020) -
Birds of Prey, and the Fantabulous Emancipation of One Harley Quinn, Cathy Yan (2020) -
Bojack Horseman, saison 6 (2019-2020) -
Night is Short Walk on Girl, Masaaki Yuasa (2017) -
To all the boys I've loved before - PS : I still love you, Michael Fimognari (2020) -
Jojo Rabbit, Taika Waïtiti (2020) -
The Office, saison 3 (2006) -
Dernier Train pour Busan, Yeon Sang-Ho (2016) -
Un film captivant au concept fort, qui exploite à fond sa scénographie et image merveilleusement la confrontation de deux perspectives politiques au travers d'un réseau de personnages attachants. Une réussite totale.
Un film captivant au concept fort, qui exploite à fond sa scénographie et image merveilleusement la confrontation de deux perspectives politiques au travers d'un réseau de personnages attachants. Une réussite totale.
Mad Max Fury Road, George Miller (2015) -
Un grand moment d'épique et de divertissement, qui, s'il me semble un peu creux politiquement, construit dans son chahut ingénieux et impressionnant un tandem de figures iconiques à la relation quasi-muette, dense et touchante.
Un grand moment d'épique et de divertissement, qui, s'il me semble un peu creux politiquement, construit dans son chahut ingénieux et impressionnant un tandem de figures iconiques à la relation quasi-muette, dense et touchante.
Midsommar, Ari Aster (2019) -
Ému par la performance de F. Pugh, et captivé par la mise en scène qui développe subtilement des motifs et esthétiques saturés au rendu dramatique très efficace. Un film proposant une expérience horrifique radicale, sensible et réussie.
Ému par la performance de F. Pugh, et captivé par la mise en scène qui développe subtilement des motifs et esthétiques saturés au rendu dramatique très efficace. Un film proposant une expérience horrifique radicale, sensible et réussie.
Jinpa - un conte tibétain, Pema Tseden (2018) -
Récit tibétain rural et onirique à la croisée du road movie et du western, qui compose de belles ambiances au prix d’un rythme lent qui m’a un peu laissé en dehors. Un personnage attachant et une réalisation intéressante.
Récit tibétain rural et onirique à la croisée du road movie et du western, qui compose de belles ambiances au prix d’un rythme lent qui m’a un peu laissé en dehors. Un personnage attachant et une réalisation intéressante.
The Handmaiden, Park Chan-Wook (2016) -
Une critique du male gaze réussie malgré une représentation lesbienne pas idéale. C’est aussi un thriller au grand sens du rythme, qui mène le spectateur en bateau et se pare d’une réalisation versatile qui touche au burlesque.
Une critique du male gaze réussie malgré une représentation lesbienne pas idéale. C’est aussi un thriller au grand sens du rythme, qui mène le spectateur en bateau et se pare d’une réalisation versatile qui touche au burlesque.
I am not okay with this, saison 1 (2020) -
Une série attachante et divertissante, pas toujours très fine et originale mais avec une héroïne lesbienne bien écrite et jouée. Il y a quand même un potentiel gâché dans ce que la série aurait pu explorer et préfère lisser.
Une série attachante et divertissante, pas toujours très fine et originale mais avec une héroïne lesbienne bien écrite et jouée. Il y a quand même un potentiel gâché dans ce que la série aurait pu explorer et préfère lisser.
Onward, Dan Scanlon (2020) -
Force est de constater que Pixar séduit une fois de plus par l’ingéniosité et la délicatesse de son écriture, qui aborde ici des thématiques douloureuses portées par un duo de personnages à la relation émouvante (larme à l’œil garantie).
Force est de constater que Pixar séduit une fois de plus par l’ingéniosité et la délicatesse de son écriture, qui aborde ici des thématiques douloureuses portées par un duo de personnages à la relation émouvante (larme à l’œil garantie).
Melancholia, Lars von Trier (2011) -
Film absolument magnifique, mais je n’ai pas envie d’en parler compte tenu du réalisateur. Regardez-le illégalement si possible.
Film absolument magnifique, mais je n’ai pas envie d’en parler compte tenu du réalisateur. Regardez-le illégalement si possible.
The Office, saison 4 (2007-2008) -
Stars Align (2019) -
J’ai revu cet anime qui me semble juste et pertinent dans les problématiques sociales qu’il soulève au travers de l’écriture de personnages très divers et attachants. La série fait passer du rire aux larmes et je la recommande à tout le monde !
J’ai revu cet anime qui me semble juste et pertinent dans les problématiques sociales qu’il soulève au travers de l’écriture de personnages très divers et attachants. La série fait passer du rire aux larmes et je la recommande à tout le monde !
Hérédité, Ari Aster (2018) -
2e visionnage très gratifiant d’un premier film impressionnant de subtilité et de maîtrise, qui m’a pétrifié et fasciné comme peu ont su le faire. L’horreur est atmosphérique, jamais facile, toujours efficace. Acteurs brillants. Génial !
2e visionnage très gratifiant d’un premier film impressionnant de subtilité et de maîtrise, qui m’a pétrifié et fasciné comme peu ont su le faire. L’horreur est atmosphérique, jamais facile, toujours efficace. Acteurs brillants. Génial !
Tenshi no Tamago, Mamoru Oshii (1985) -
De belles compositions et une mise en scène travaillée qui souffrent de ne pas porter grand chose.
Le film est enchaînement de postures qui simule sa profondeur mais manque de matière, ce qui le rend un peu agaçant et ennuyeux.
De belles compositions et une mise en scène travaillée qui souffrent de ne pas porter grand chose.
Le film est enchaînement de postures qui simule sa profondeur mais manque de matière, ce qui le rend un peu agaçant et ennuyeux.
The Platform, Galder Gaztelu-Urrutia (2019) -
Critique de la théorie du ruissellement, ce film se démarque par son ambiance glaçante, son ironie incisive, son rythme haletant qui ne contrevient pas à son sens du dialogue remarquable. Belle réussite pour un pari risqué.
Critique de la théorie du ruissellement, ce film se démarque par son ambiance glaçante, son ironie incisive, son rythme haletant qui ne contrevient pas à son sens du dialogue remarquable. Belle réussite pour un pari risqué.
Mise à mort du cerf sacré, Yorgos Lánthimos (2017) -
Je tombe à nouveau sous le charme du réalisateur, de sa direction d’acteurs si froide et monotone en contraste avec son travail sonore exubérant, qui subliment ici un drame familial sur-esthétisé, absurde et morbide.
Je tombe à nouveau sous le charme du réalisateur, de sa direction d’acteurs si froide et monotone en contraste avec son travail sonore exubérant, qui subliment ici un drame familial sur-esthétisé, absurde et morbide.
Ténèbres, Dario Argento (1982) -
Découverte du réal avec ce film que j’ai trouvé cruel et divertissant. Les mises à mort donnent lieu à des effets de réalisation inspirés (vue subjective, etc.). L’intrigue policière traîne peut-être un peu. Hâte d’en voir d’autres !
Découverte du réal avec ce film que j’ai trouvé cruel et divertissant. Les mises à mort donnent lieu à des effets de réalisation inspirés (vue subjective, etc.). L’intrigue policière traîne peut-être un peu. Hâte d’en voir d’autres !
Canine, Yorgos Lánthimos (2009) -
L’un des premiers films du réalisateur, tourné en Grèce. Une pâte moins mature mais la matrice de nombreux tropes de son cinéma (haine de la famille, désir, jeu au minimalisme absurde...). Tragi-comique et placidement agressif.
L’un des premiers films du réalisateur, tourné en Grèce. Une pâte moins mature mais la matrice de nombreux tropes de son cinéma (haine de la famille, désir, jeu au minimalisme absurde...). Tragi-comique et placidement agressif.
Phenomena, Dario Argento (1985) -
J’ai apprécié la confrontation des points de vue par la mise en scène, le kitch pop des morts, les esthétiques body-horroresques burlesques et la jeune J. Connelly déjà douée ; mais je n’ai pas réussi à rentrer complètement dedans.
J’ai apprécié la confrontation des points de vue par la mise en scène, le kitch pop des morts, les esthétiques body-horroresques burlesques et la jeune J. Connelly déjà douée ; mais je n’ai pas réussi à rentrer complètement dedans.
Watchmen, saison 1 (2019) -
Après une 1ère moitié haletante, intelligente et surprenante, la série devient confuse, répétitive et ennuyeuse jusqu’au final agaçant d’incohérence et de bêtise. Et les 3 mêmes musiques qui tournent en boucle... Au moins ça dégomme du nazi.
Après une 1ère moitié haletante, intelligente et surprenante, la série devient confuse, répétitive et ennuyeuse jusqu’au final agaçant d’incohérence et de bêtise. Et les 3 mêmes musiques qui tournent en boucle... Au moins ça dégomme du nazi.
La Cité des enfants perdus, Jeunet/Caro (1995) -
Film de mon enfance qui, au-delà de la simplicité de son scénario qui a eu du mal à me passionner, m’a séduit par ses esthétiques steampunk organiques, sa mélancolie et sa fantaisie. Un travail technique remarquable.
Film de mon enfance qui, au-delà de la simplicité de son scénario qui a eu du mal à me passionner, m’a séduit par ses esthétiques steampunk organiques, sa mélancolie et sa fantaisie. Un travail technique remarquable.
The Office, saison 5 (2008-2009) -
The Marvelous Mrs. Maisel, saison 1 (2017) -
D’une bienveillance à toute épreuve, la série est un concentré de bonne humeur et d’émotion porté par un panel de personnages attachants, drôles et bien campés. Très bien rythmée et addictive, elle mérite tous les éloges !
D’une bienveillance à toute épreuve, la série est un concentré de bonne humeur et d’émotion porté par un panel de personnages attachants, drôles et bien campés. Très bien rythmée et addictive, elle mérite tous les éloges !
Les Acteurs, Bertrand Blier (1999) -
Pas mon Blier préféré parce que je manque d’attache avec le milieu du cinéma français. Je trouve que le film, bien qu’efficace, souffre de quelques longueurs + est parfois confus dans sa narration comme dans son éloge un peu poseur.
Pas mon Blier préféré parce que je manque d’attache avec le milieu du cinéma français. Je trouve que le film, bien qu’efficace, souffre de quelques longueurs + est parfois confus dans sa narration comme dans son éloge un peu poseur.
Killing Eve, saison 2 (2019) -
J’appréhendais le départ de Phoebe Waller-Bridge, mais la nouvelle réalisatrice fait honneur à la série, qui demeure merveilleusement écrite, drôle, cruelle et révolutionnaire. Comer crève l’écran. Tout est parfait. À voir absolument !
J’appréhendais le départ de Phoebe Waller-Bridge, mais la nouvelle réalisatrice fait honneur à la série, qui demeure merveilleusement écrite, drôle, cruelle et révolutionnaire. Comer crève l’écran. Tout est parfait. À voir absolument !
